Il s’enveloppait de ténèbres pour se cacher dans leurs replis, des nuages opaques et l’obscurité de l’orage formaient sa tente.

Tu fais briller ma lampe ; ô Eternel, mon Dieu, tu illumines mes ténèbres.

Si je devais traverser la vallée où règnent d’épaisses ténèbres, je ne craindrais aucun mal, car tu es auprès de moi : ta houlette me conduit et ton bâton me protège.

Pourtant, tu nous as écrasés dans le domaine des chacals, et tu nous as couverts de ténèbres épaisses.

Mais ils ne comprennent rien, ils ne savent rien, ils errent dans les ténèbres ; les fondements du pays en sont ébranlés.

Connaît-on tes prodiges là où sont les ténèbres, et ta justice au pays de l’oubli ?

Tu as fait s’éloigner de moi tous mes amis, mes compagnons ! Ma seule compagnie est celle des ténèbres.

Tu fais descendre les ténèbres, et c’est la nuit. Alors les hôtes des forêts se mettent tous en mouvement ;

Il envoya les ténèbres qui couvrirent le pays, et les Egyptiens cessèrent de résister à ses ordres.

D’autres se trouvaient dans des lieux, où régnaient d’épaisses ténèbres et l’obscurité la plus noire, enchaînés dans la misère et les fers

Une lumière luit dans les ténèbres, pour les gens droits, ceux qui font grâce, qui sont compatissants et justes.

Et si je me dis : « Du moins les ténèbres m’envelopperont », alors la nuit même se change en lumière tout autour de moi.

Pour toi, même les ténèbres ne sont pas obscures et la nuit est claire comme le plein jour : lumière ou ténèbres pour toi sont pareilles.

Un ennemi me poursuit sans relâche, et il veut écraser ma vie à terre, il me fait demeurer dans les ténèbres comme les morts, ces gens des temps passés.