De malheurs innombrables je suis environné, mes transgressions m’accablent : je n’en supporte pas la vue : elles dépassent, par leur nombre, les cheveux de ma tête ; je n’ai plus de courage.
Car des maux sans nombre m’environnent; Les châtiments de mes iniquités m’atteignent, Et je ne puis en supporter la vue; Ils sont plus nombreux que les cheveux de ma tête, Et mon courage m’abandonne.
Oui, des maux sans nombre m’environnent: je subis les conséquences de mes fautes, et je n’en supporte pas la vue; elles sont plus nombreuses que les cheveux de ma tête, et mon courage m’abandonne.