O toi qui te meurtris par ton emportement, est-ce à cause de toi que la terre devrait rester abandonnée ? Faut-il que les rochers se déplacent pour toi ?
Toi qui t’épuises dans ta colère, faudrait-il, à cause de toi, que la terre soit vidée de ses habitants? Faudrait-il que le rocher bouge de son emplacement?