Malheur à vous qui joignez maison à maison et ajoutez un champ à l’autre au point qu’il n’y a plus d’espace libre parce que vous occupez à vous seuls tout le pays.
Malheur à ceux qui ajoutent maison à maison, Et qui joignent champ à champ, Jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'espace, Et qu'ils habitent seuls au milieu du pays!
Malheur à ceux qui ajoutent maison à maison, Et qui joignent champ à champ, Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’espace, Et qu’ils habitent seuls au milieu du pays!
Malheur à vous qui ajoutez maison à maison et qui joignez champ à champ jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'espace, au point que vous êtes les seuls à habiter au milieu du pays!