Au contraire, il reconnaîtra comme premier-né le fils de la femme qu’il aime moins et lui donnera une double part de l’héritage de tout ce qu’il possède, car c’est lui qui est le premier rejeton de sa vigueur, c’est à lui qu’appartient le droit d’aînesse.
Mais il reconnaîtra pour premier-né le fils de celle qu'il n'aime pas, et lui donnera sur son bien une portion double; car ce fils est les prémices de sa vigueur, le droit d'aînesse lui appartient.
Mais il reconnaîtra pour premier-né le fils de celle qu’il n’aime pas, et lui donnera sur son bien une portion double; car ce fils est les prémices de sa vigueur, le droit d’aînesse lui appartient.
Il reconnaîtra au contraire comme premier-né le fils de celle qu'il n'aime pas et il lui donnera une double portion de son bien, car ce fils est le premier de ses enfants. Le droit d'aînesse lui appartient.