Maintenant, je me réjouis des souffrances que j’endure pour vous. Car, en ma personne, je complète, pour le bien de son corps – qui est l’Eglise – ce qui manque aux persécutions dirigées contre Christ.
Je me réjouis maintenant dans mes souffrances pour vous; et ce qui manque aux souffrances de Christ, je l'achève en ma chair, pour son corps, qui est l'Église.
Je me réjouis maintenant dans mes souffrances pour vous; et ce qui manque aux souffrances de Christ, je l’achève en ma chair, pour son corps, qui est l’Eglise.
Je me réjouis maintenant dans mes souffrances pour vous et je supplée dans ma vie à ce qui manque aux peines infligées à Christ pour son corps, c’est-à-dire l'Eglise.