Arrivé au terme de sa vie, Jean disait encore : « Qui pensez-vous que je suis ? Je ne suis pas celui que vous attendiez ! Non ! il vient après moi, et je ne mérite pas de dénouer ses sandales. »
Et lorsque Jean achevait sa course, il disait: Je ne suis pas celui que vous pensez; mais voici, après moi vient celui des pieds duquel je ne suis pas digne de délier les souliers.
Et lorsque Jean achevait sa course, il disait: Je ne suis pas celui que vous pensez; mais voici, après moi vient celui dont je ne suis pas digne de délier les souliers.
Et, lorsqu’il terminait sa course, Jean disait: ‘Je ne suis pas celui que vous pensez, mais le voici qui vient après moi et je ne suis pas digne de détacher ses sandales.’