Regarde, ô mon père, oui, regarde ce que je tiens dans ma main : un pan de ton manteau. Puisque j’ai coupé le pan de ton manteau et que je ne t’ai pas tué, reconnais donc qu’il n’y a de ma part ni malveillance ni révolte, et que je n’ai aucun tort envers toi. Alors que toi, tu me traques pour m’ôter la vie.
Vois, mon père, vois donc le pan de ton manteau dans ma main. Puisque j’ai coupé le pan de ton manteau et que je ne t’ai pas tué, sache et reconnais qu’il n’y a dans ma conduite ni méchanceté ni révolte, et que je n’ai point péché contre toi. Et toi, tu me dresses des embûches, pour m’ôter la vie!
Regarde, mon père, regarde donc le pan de ton manteau dans ma main. J'ai coupé le pan de ton manteau, mais je ne t'ai pas tué. Sache et reconnais donc qu'il n'y a dans ma conduite ni méchanceté ni révolte et que je n'ai pas péché contre toi. Et pourtant tu me dresses des embuscades pour m'enlever la vie!