Le jeûne qui me plaît
est celui qui consiste |à détacher les liens |de la méchanceté,
à délier les courroies |de toute servitude,
à mettre en liberté |tous ceux que l’on opprime
et à briser |toute espèce de joug.

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C’est partager ton pain |avec ceux qui ont faim,
et offrir l’hospitalité |aux pauvres sans abri,
c’est donner des habits |à celui qu’on voit nu,
ne pas te détourner |de ton prochain[a].

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Footnotes

  1. 58.7 Voir Mt 25.35-36 ; Jc 2.15-16.

10 si tu donnes ton pain[a]
à celui qui a faim
et si tu pourvois aux besoins |de l’opprimé,
la lumière luira pour toi |au milieu des ténèbres,
et ton obscurité |se changera pour toi |en clarté de midi,
11 L’Eternel te conduira constamment.
Il pourvoira à tes besoins |dans les déserts arides,
il te fortifiera physiquement
et tu ressembleras |à un jardin bien arrosé,
à une source vive |aux eaux intarissables.
12 Les tiens rebâtiront |les ruines d’autrefois
et tu relèveras |les fondements posés |dans les siècles passés.
Tu seras appelé : |« Réparateur des brèches »,
« le restaurateur des chemins » |qui rend le pays habitable.

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Footnotes

  1. 58.10 D’après quelques manuscrits hébreux, les versions syriaque et grecque. Le texte hébreu traditionnel porte : Si tu te donnes.

13 – les besoins de ceux qui font partie du peuple saint : soyez-en solidaires, toujours prêts à pratiquer l’hospitalité.

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Exercez l’hospitalité les uns envers les autres, sans vous plaindre.

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