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Non, je n’aurai plus pitié des habitants du pays, déclare l'Eternel. En effet, je livre les hommes aux mains les uns des autres et aux mains de leur roi; ils dévasteront le pays, et je ne délivrerai personne de leurs mains.»

Alors je me suis mis à prendre soin des brebis destinées à l'abattoir, certainement les plus misérables du troupeau. J’ai pris deux houlettes. J'ai appelé l'une Grâce et l'autre Union, et j’ai pris soin des brebis. J’ai fait disparaître les trois bergers en un mois, mais j’ai perdu patience avec elles, et elles-mêmes en ont eu assez de moi.

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