Car ceux qui sont morts |ne sont plus capables |de parler de toi !
Qui peut te louer |au séjour des morts ?

Or, à force de gémir, |je suis épuisé,
et, durant la nuit, |sur mon lit, je pleure ;
ma couche est trempée, |inondée de larmes.
Mes yeux sont usés, |tant j’ai de chagrin, |ils n’en peuvent plus.
Ce sont tous mes ennemis |qui en sont la cause.

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