En vertu de ta grâce immense |je peux venir à ta maison,
et avec crainte |me prosterner pour t’adorer |devant ton sanctuaire.
Eternel, conduis-moi, |toi qui es juste, |car j’ai des ennemis.
Aplanis le sentier |que tu veux que j’emprunte.
10 Dans leurs propos, |il n’y a aucune sincérité,
et ils ne pensent qu’à détruire.
Dès qu’ils se mettent à parler, |on dirait un tombeau qui s’ouvre ;
leur langue se fait enjôleuse[a].

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Footnotes

  1. 5.10 Cité en Rm 3.13.