Alors que j’épanche mon cœur, |je me souviens du temps
où, avec le cortège, |je m’avançais,
marchant avec la foule |vers le temple de Dieu,
au milieu de la joie |et des cris de reconnaissance
de tout un peuple en fête.
Pourquoi donc, ô mon âme, |es-tu si abattue
et gémis-tu sur moi ?
Mets ton espoir en Dieu ! |je le louerai encore,
car il est mon Sauveur.
Mon Dieu[a], mon âme est abattue !
Voilà pourquoi, je pense à toi |du pays du Jourdain,
des cimes de l’Hermon |et du mont Mitséar[b].

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Footnotes

  1. 42.7 Certains rattachent ces mots à la fin du v. 6 et traduisent : car il est mon Sauveur, il est mon Dieu. Je suis …
  2. 42.7 L’Hermon constituait la frontière nord du pays de la promesse (Dt 3.8 ; Jos 11.17 ; 13.11 ; 1 Ch 5.23). Le mont Mitséar ou Petit-Mont n’est cité nulle part ailleurs.