J’ai soif de Dieu, ╵du Dieu vivant !
Quand donc pourrai-je aller ╵et me présenter devant Dieu ?
Mes larmes sont le pain ╵de mes jours comme de mes nuits.
Sans cesse, on me répète :
« Ton Dieu, où est-il donc ? »
Alors que j’épanche mon cœur, ╵je me souviens du temps
où, avec le cortège, ╵je m’avançais,
marchant avec la foule ╵vers le temple de Dieu,
au milieu de la joie ╵et des cris de reconnaissance
de tout un peuple en fête.

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