Sur moi, le jour et la nuit, |ta main s’appesantissait,
ma vigueur m’abandonnait |comme l’herbe se dessèche |lors des ardeurs de l’été.
            Pause
Je t’ai avoué ma faute,
je n’ai plus caché mes torts,
j’ai dit : « Je reconnaîtrai |devant l’Eternel |les péchés que j’ai commis. »
Alors tu m’as déchargé |du poids de ma faute.
            Pause
Ainsi, que tout homme |qui t’est attaché |te prie au temps opportun.
Si les grandes eaux déferlent,
leurs flots ne l’atteignent pas.

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