Quand mon esprit ╵est abattu,
toi tu connais ╵par quel chemin je passe.
Sur la route où je marche,
ils m’ont tendu un piège.
Regarde à droite[a] et vois :
il n’y a plus personne ╵qui veuille me connaître !
Je ne sais plus ╵où chercher un refuge
et nul ne veut ╵s’inquiéter de ma vie.

O Eternel, ╵je fais appel à toi,
et je m’écrie : ╵« Tu es mon seul abri !
Tu es mon bien ╵au pays des vivants ! »

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Footnotes

  1. 142.5 C’est-à-dire du côté où se tient le défenseur (16.8 ; 109.31 ; 110.5).