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Les blessures d’un ami prouvent sa fidélité,
Mais les baisers d’un ennemi sont trompeurs.
Celui qui est rassasié foule aux pieds le rayon de miel,
Mais celui qui a faim trouve doux tout ce qui est amer.
Comme l’oiseau qui erre loin de son nid,
Ainsi est l’homme qui erre loin de son lieu.
L’huile et les parfums réjouissent le cœur,
Et les conseils affectueux d’un ami sont doux.
10 N’abandonne pas ton ami et l’ami de ton père,
Et n’entre pas dans la maison de ton frère au jour de ta détresse;
Mieux vaut un voisin proche qu’un frère éloigné.

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Un ami qui vous blesse vous prouve par là sa fidélité,
mais un ennemi multiplie les embrassades.
Qui est rassasié dédaigne le miel,
mais, pour l’affamé, même ce qui est amer paraît doux.
L’homme qui erre loin de son pays
est comme un oiseau errant loin de son nid.
L’huile odorante et les parfums mettent le cœur en joie,
et le conseil donné du fond du cœur rend douce l’amitié[a].
10 Ne délaisse pas ton ami, ni l’ami de ton père,
et quand le malheur t’atteint, ne t’adresse pas à ta parenté :
un voisin près de toi vaut mieux qu’un parent qui se trouve loin.

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Footnotes

  1. 27.9 Sens incertain. L’ancienne version grecque a : mais les malheurs troublent l’esprit.