Plus on l’a appelé, |plus il s’est éloigné[a] |de ceux qui l’appelaient.
C’est aux Baals qu’il sacrifie,
aux idoles taillées |qu’il offre de l’encens.
Pourtant, c’est moi |qui, pour ses premiers pas, |ai guidé Ephraïm,
en le soutenant par les bras[b],
mais il n’a pas voulu savoir |que moi, je prenais soin de lui.
C’est par des liens |d’une tendresse tout humaine
et des cordes d’amour |que je le conduisais,
et j’ai été pour lui |comme quelqu’un qui porte |un nourrisson
contre ses joues |pour lui tendre à manger[c].

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Footnotes

  1. 11.2 Il s’agit peut-être des prophètes qui ont appelé Israël à la repentance au cours de son histoire. L’ancienne version grecque porte : Plus je l’ai appelé, plus ils se sont éloignés de moi.
  2. 11.3 L’ancienne version grecque a : et qui l’ai porté dans mes bras.
  3. 11.4 et j’ai été pour lui … à manger. Autre traduction : j’ai comme soulevé pour eux le mors du joug au-dessus des mâchoires pour leur tendre à manger.