sachez bien que c’est Dieu |qui a violé mon droit[a]
et qui, autour de moi, |a tendu ses filets.
Si je crie à la violence |dont je suis la victime, |personne ne répond,
si j’appelle au secours, |il n’est pas fait justice.
Il a bloqué ma route, |et je ne puis passer.
Il a enveloppé |mes sentiers de ténèbres.

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Footnotes

  1. 19.6 Autre traduction : qui m’opprime.