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51 Or, il ne dit pas cela de lui-même; mais étant souverain sacrificateur cette année-là, il prophétisa que Jésus devait mourir pour la nation.

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51 Or ce qu’il disait là ne venait pas de lui ; mais il était grand-prêtre cette année-là, et c’est en cette qualité qu’il prophétisa qu’il fallait que Jésus meure pour son peuple.

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52 Et ce n'était pas pour la nation seulement; c'était aussi afin de réunir en un seul corps les enfants de Dieu dispersés.

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52 Et ce n’était pas seulement pour son peuple qu’il devait mourir, c’était aussi pour rassembler tous les enfants de Dieu dispersés à travers le monde et les réunir en un seul peuple.

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13 Mais maintenant, en Jésus Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ.

14 Car il est notre paix, lui qui des deux n'en a fait qu'un, et qui a renversé le mur de séparation, l'inimitié,

15 ayant anéanti par sa chair la loi des ordonnances dans ses prescriptions, afin de créer en lui-même avec les deux un seul homme nouveau, en établissant la paix,

16 et de les réconcilier, l'un et l'autre en un seul corps, avec Dieu par la croix, en détruisant par elle l'inimitié.

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13 Mais maintenant, par votre union avec Jésus-Christ, vous qui, autrefois, étiez loin, vous êtes devenus proches grâce au sacrifice de Christ[a].

14 Car nous lui devons notre paix[b]. Il a, en effet, instauré l’unité entre les Juifs et les non-Juifs et abattu le mur[c] qui les séparait : en livrant son corps à la mort, il a annulé les effets de ce qui faisait d’eux des ennemis, 15 c’est-à-dire de la Loi de Moïse, dans ses commandements et ses règles. Il voulait ainsi créer une seule et nouvelle humanité à partir des Juifs et des non-Juifs qu’il a unis à lui-même, en établissant la paix. 16 Il voulait aussi les réconcilier les uns et les autres avec Dieu et les unir en un seul corps, en supprimant, par sa mort sur la croix, ce qui faisait d’eux des ennemis.

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Footnotes

  1. 2.13 Voir la citation au v. 17.
  2. 2.14 Mi 5.4.
  3. 2.14 Allusion probable à la haute muraille qui, dans le temple de Jérusalem, séparait le parvis des non-Juifs de celui où les Juifs seuls avaient accès.

17 Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.

18 Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.

19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.

20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ: Soyez réconciliés avec Dieu!

21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu.

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17 Ainsi, si quelqu’un est uni à Christ, il appartient à une nouvelle création[a] : les choses anciennes sont passées : voici, les choses nouvelles sont venues[b]. 18 Tout cela est l’œuvre de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ et qui nous a confié le ministère de la réconciliation. 19 En effet, Dieu était en Christ, réconciliant les hommes avec lui-même, sans tenir compte de leurs fautes, et il a fait de nous les dépositaires du message de la réconciliation. 20 Nous faisons donc fonction d’ambassadeurs au nom de Christ, comme si Dieu adressait par nous cette invitation aux hommes : « Au nom de Christ, nous vous en supplions : soyez réconciliés avec Dieu. 21 Celui qui était innocent de tout péché, Dieu l’a condamné comme un pécheur à notre place[c] pour que, dans l’union avec Christ, nous recevions la justice que Dieu accorde[d]. »

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Footnotes

  1. 5.17 Autre traduction : il est une nouvelle créature.
  2. 5.17 Voir Es 48.6.
  3. 5.21 D’autres comprennent : Dieu l’a fait sacrifice pour le péché pour nous.
  4. 5.21 D’autres comprennent : afin que, par Christ, la justice de Dieu se réalise en nous.

25 C'est pourquoi, renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vérité à son prochain; car nous sommes membres les uns des autres.

26 Si vous vous mettez en colère, ne péchez point; que le soleil ne se couche pas sur votre colère,

27 et ne donnez pas accès au diable.

28 Que celui qui dérobait ne dérobe plus; mais plutôt qu'il travaille, en faisant de ses mains ce qui est bien, pour avoir de quoi donner à celui qui est dans le besoin.

29 Qu'il ne sorte de votre bouche aucune parole mauvaise, mais, s'il y a lieu, quelque bonne parole, qui serve à l'édification et communique une grâce à ceux qui l'entendent.

30 N'attristez pas le Saint Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption.

31 Que toute amertume, toute animosité, toute colère, toute clameur, toute calomnie, et toute espèce de méchanceté, disparaissent du milieu de vous.

32 Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant réciproquement, comme Dieu vous a pardonné en Christ.

Devenez donc les imitateurs de Dieu, comme des enfants bien-aimés;

et marchez dans la charité, à l'exemple de Christ, qui nous a aimés, et qui s'est livré lui-même à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice de bonne odeur.

La vie dans l’amour

25 C’est pourquoi, débarrassés du mensonge, que chacun de vous dise la vérité à son prochain[a]. Ne sommes-nous pas membres les uns des autres ?

26 Mettez-vous en colère |mais n’allez pas jusqu’à pécher[b] ; que votre colère s’apaise avant le coucher du soleil. 27 Ne donnez aucune prise au diable.

28 Que le voleur cesse de dérober ; qu’il se donne plutôt de la peine et travaille honnêtement de ses mains pour qu’il ait de quoi donner à ceux qui sont dans le besoin.

29 Ne laissez aucune mauvaise parole franchir vos lèvres ; ayez au contraire des paroles empreintes de bonté, qui aident les autres à grandir dans la foi selon les besoins. Ainsi elles feront du bien à ceux qui vous entendent.

30 N’attristez[c] pas le Saint-Esprit de Dieu car, par cet Esprit, Dieu vous a marqués de son sceau comme sa propriété pour le jour de la délivrance finale.

31 Amertume, irritation, colère, éclats de voix, insultes : faites disparaître tout cela du milieu de vous, ainsi que toute forme de méchanceté. 32 Soyez bons et compréhensifs les uns envers les autres. Pardonnez-vous réciproquement comme Dieu vous[d] a pardonné en Christ.

Puisque vous êtes les enfants bien-aimés de Dieu, suivez l’exemple de votre Père.

Que votre vie soit dirigée par l’amour, de même que Christ nous[e] a aimés et a livré lui-même sa vie à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice dont le parfum plaît à Dieu.

Footnotes

  1. 4.25 Za 8.16.
  2. 4.26 Ps 4.5 cité selon l’ancienne version grecque. D’autres traduisent : Si vous vous mettez en colère, ne commettez pas de péché.
  3. 4.30 Autre traduction : N’entravez pas l’action de l’Esprit.
  4. 4.32 Certains manuscrits ont : nous.
  5. 5.2 Certains manuscrits ont : vous.

14 Faites accueil à celui qui est faible dans la foi, et ne discutez pas sur les opinions.

Tel croit pouvoir manger de tout: tel autre, qui est faible, ne mange que des légumes.

Que celui qui mange ne méprise point celui qui ne mange pas, et que celui qui ne mange pas ne juge point celui qui mange, car Dieu l'a accueilli.

Qui es-tu, toi qui juges un serviteur d'autrui? S'il se tient debout, ou s'il tombe, cela regarde son maître. Mais il se tiendra debout, car le Seigneur a le pouvoir de l'affermir.

Tel fait une distinction entre les jours; tel autre les estime tous égaux. Que chacun ait en son esprit une pleine conviction.

Celui qui distingue entre les jours agit ainsi pour le Seigneur. Celui qui mange, c'est pour le Seigneur qu'il mange, car il rend grâces à Dieu; celui qui ne mange pas, c'est pour le Seigneur qu'il ne mange pas, et il rend grâces à Dieu.

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Le respect des frères et sœurs en la foi

14 Accueillez celui qui est mal affermi dans la foi, sans contester sans cesse ses opinions[a]. Ainsi la foi de l’un le conduit à manger de tout. L’autre, qui est mal affermi dans la foi, ne mange que des légumes. Que celui qui mange de tout ne méprise pas celui qui ne fait pas comme lui, et que celui qui ne mange pas de viande ne condamne pas celui qui en mange, car Dieu lui a fait bon accueil. Qui es-tu, toi, pour juger le serviteur d’un autre ? Qu’il tienne bon ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. Mais il tiendra bon car le Seigneur, son maître, a le pouvoir de le faire tenir.

Pour celui-ci, tel jour a plus d’importance qu’un autre[b] ; pour celui-là, ils sont tous égaux : à chacun d’avoir une pleine conviction en lui-même. Celui qui fait une distinction entre les jours le fait pour le Seigneur. Celui qui mange de tout le fait aussi pour le Seigneur, puisqu’il remercie Dieu pour sa nourriture. Et celui qui s’abstient de certains aliments le fait encore pour le Seigneur, car lui aussi remercie Dieu.

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Footnotes

  1. 14.1 Autre traduction : sans discuter sans cesse de ses opinions.
  2. 14.5 Il s’agissait sans doute de chrétiens d’origine juive qui continuaient à respecter le sabbat et les jours de fêtes cultuelles instituées par la Loi mosaïque.

14 Tous d'un commun accord persévéraient dans la prière, avec les femmes, et Marie, mère de Jésus, et avec les frères de Jésus.

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14 Eux tous, d’un commun accord, se retrouvaient souvent pour prier, avec quelques femmes, avec Marie la mère de Jésus, et avec les frères de Jésus.

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