Le patrimoine de Dieu : un domaine abandonné

J’ai délaissé mon temple,
j’ai rejeté le peuple ╵qui est mon patrimoine,
j’ai livré à ses ennemis
celle que je chéris.
Car le peuple qui m’appartient ╵est devenu pour moi ╵comme un lion de la forêt ;
il rugit contre moi ;
c’est pourquoi je l’ai pris en haine.
Eh quoi ! le peuple ╵qui m’appartient ╵est-il donc devenu pour moi ╵comme un rapace ╵aux couleurs bigarrées[a]
pour que, de toutes parts, ╵les autres rapaces l’entourent ?

Allez et rassemblez ╵les animaux sauvages !
Qu’on les fasse venir ╵pour le festin !

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Footnotes

  1. 12.9 Les oiseaux de proie s’attaquent, paraît-il, à ceux qui ont un plumage plus éclatant que le leur.