Add parallel Print Page Options

Jusqu’à quand le pays sera-t-il dans le deuil,
Et l’herbe de tous les champs sera-t-elle desséchée?
A cause de la méchanceté des habitants,
Les bêtes et les oiseaux périssent.
Car ils disent: Il ne verra pas notre fin.
Si tu cours avec des piétons et qu’ils te fatiguent,
Comment pourras-tu lutter avec des chevaux?
Et si tu ne te crois en sûreté que dans une contrée paisible,
Que feras-tu sur les rives orgueilleuses du Jourdain?
Car tes frères eux-mêmes et la maison de ton père te trahissent,
Ils crient eux-mêmes à pleine voix derrière toi.
Ne les crois pas, quand ils te diront des paroles amicales.

Read full chapter