Add parallel Print Page Options

Et toi, Eternel, tu me connais,
Tu me vois, tu sondes mon cœur qui est avec toi.
Enlève-les comme des brebis qu’on doit égorger,
Et prépare-les pour le jour du carnage!
Jusqu’à quand le pays sera-t-il dans le deuil,
Et l’herbe de tous les champs sera-t-elle desséchée?
A cause de la méchanceté des habitants,
Les bêtes et les oiseaux périssent.
Car ils disent: Il ne verra pas notre fin.
Si tu cours avec des piétons et qu’ils te fatiguent,
Comment pourras-tu lutter avec des chevaux?
Et si tu ne te crois en sûreté que dans une contrée paisible,
Que feras-tu sur les rives orgueilleuses du Jourdain?

Read full chapter