Ces dieux-là sont semblables |à des épouvantails |dans un champ de concombres :
ils ne savent parler,
il faut qu’on les transporte
car ils ne marchent pas.
Ne les craignez donc pas :
ils ne font pas de mal ;
et ils ne peuvent pas |non plus faire du bien.

Nul n’est semblable à toi, |ô Eternel !
Car tu es grand |et parce que tu es puissant, |ta renommée est grande !
Qui donc ne te craindrait, |ô, roi des peuples ?
On doit te craindre
car parmi tous les sages |de tous les peuples
et dans tous leurs royaumes,
nul n’est semblable à toi[a] !

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Footnotes

  1. 10.7 Voir Ap 15.4.