Si un homme confie en garde à son prochain un âne, un bovin, un mouton ou tout autre animal, et que celui-ci meurt, se casse une patte ou se fait capturer par des voleurs sans qu’il y ait de témoin, 10 un serment prêté au nom de l’Eternel départagera les deux parties. Celui qui avait la garde de l’animal jurera qu’il ne s’est pas emparé du bien de l’autre, et le propriétaire de la bête acceptera ce serment sans qu’aucune indemnité ne lui soit versée. 11 Mais si l’animal lui a été volé chez lui, il dédommagera le propriétaire.

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