Si quelqu’un allume un feu et que celui-ci, rencontrant des buissons d’épines[a], se propage et brûle les gerbes du voisin, ou son blé sur pied, ou bien son blé en herbe, l’auteur de l’incendie sera tenu de donner compensation pour ce qui aura été brûlé.

Si un homme confie à la garde d’autrui de l’argent ou des objets de valeur et qu’ils soient volés dans la maison de celui qui en avait accepté la garde, si le voleur est retrouvé, il restituera le double de ce qu’il a volé. S’il ne l’est pas, le maître de la maison comparaîtra devant Dieu pour savoir s’il ne s’est pas emparé du bien de son prochain.

Read full chapter

Footnotes

  1. 22.5 Les haies d’épines étaient souvent utilisées comme clôtures (voir Mi 7.4).