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Darius trouva bon d'établir sur le royaume cent vingt satrapes, qui devaient être dans tout le royaume.

Il mit à leur tête trois chefs, au nombre desquels était Daniel, afin que ces satrapes leur rendissent compte, et que le roi ne souffrît aucun dommage.

Daniel surpassait les chefs et les satrapes, parce qu'il y avait en lui un esprit supérieur; et le roi pensait à l'établir sur tout le royaume.

Alors les chefs et les satrapes cherchèrent une occasion d'accuser Daniel en ce qui concernait les affaires du royaume. Mais ils ne purent trouver aucune occasion, ni aucune chose à reprendre, parce qu'il était fidèle, et qu'on apercevait chez lui ni faute, ni rien de mauvais.

Et ces hommes dirent: Nous ne trouverons aucune occasion contre ce Daniel, à moins que nous n'en trouvions une dans la loi de son Dieu.

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L’histoire mondiale et sa fin

Et Darius le Mède, âgé d’environ soixante-deux ans, accéda au pouvoir royal[a].

Daniel dans la fosse aux lions

La jalousie des satrapes

Darius jugea bon de nommer cent vingt satrapes pour gouverner tout le royaume. Il plaça au-dessus d’eux trois ministres auxquels ces satrapes devaient rendre compte pour que les intérêts du roi soient préservés. Daniel était l’un de ces trois. Or, il se montrait plus capable que les deux autres ministres et tous les satrapes[b], parce qu’il y avait en lui un esprit extraordinaire. C’est pourquoi le roi songeait à le mettre à la tête de tout le royaume.

Alors les autres ministres et les satrapes se mirent à chercher un motif d’accusation contre lui dans sa manière d’administrer les affaires de l’empire, mais ils ne purent découvrir aucun motif d’accusation, ni aucune faute, car il était fidèle, de sorte qu’on ne pouvait trouver en lui ni négligence ni faute.

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Footnotes

  1. 6.1 Darius le Mède (9.1 ; 11.1) : il faut distinguer ce personnage de Darius Ier Hystaspe (522 à 486 av. J.-C.). Il y a de bonnes raisons de l’identifier à Ugbaru, encore nommé « Gubaru » (ou Gobryas), le général qui a pris la ville de Babylone. Il aurait été nommé par Cyrus roi vassal de Babylone. Une autre solution fait de « Darius le Mède » le nom babylonien d’intronisation de Cyrus après sa conquête de la ville en 539 av. J.-C. On peut alors adopter l’autre traduction indiquée en note pour le v. 29 (voir, en 1 Ch 5.26 et note, un même phénomène pour Tiglath-Piléser, roi d’Assyrie).
  2. 6.4 Voir Est 1.1 et note.

11 Ses frères eurent de l'envie contre lui, mais son père garda le souvenir de ces choses.

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11 Ses frères étaient jaloux de lui : mais son père garda la chose en mémoire[a].

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Footnotes

  1. 37.11 Voir Ac 7.9.

Comme ils revenaient, lors du retour de David après qu'il eut tué le Philistin, les femmes sortirent de toutes les villes d'Israël au-devant du roi Saül, en chantant et en dansant, au son des tambourins et des triangles, et en poussant des cris de joie.

Les femmes qui chantaient se répondaient les unes aux autres, et disaient: Saül a frappé ses mille, -Et David ses dix mille.

Saül fut très irrité, et cela lui déplut. Il dit: On en donne dix mille à David, et c'est à moi que l'on donne les mille! Il ne lui manque plus que la royauté.

Et Saül regarda David d'un mauvais oeil, à partir de ce jour et dans la suite.

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Saül devient jaloux de David

Lorsqu’ils étaient revenus de la guerre, après que David eut tué le Philistin, les femmes étaient sorties de toutes les villes d’Israël à la rencontre du roi Saül en chantant, en dansant et en poussant des cris de joie au son de tambourins et de cymbales. Elles chantaient en chœurs alternés, tout en dansant :

Saül a vaincu ses milliers
et David ses dizaines de milliers.

Saül le prit très mal et se mit dans une grande colère.

– Elles en attribuent dix mille à David, dit-il, et à moi seulement mille ! Il ne lui manque plus que la royauté !

A partir de ce moment-là, Saül regarda David d’un mauvais œil.

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