« Que tes pas sont gracieux ╵dans tes sandales, ╵fille de prince !
Le contour de tes hanches ╵ressemble à un collier,
œuvre de mains d’artiste.
Ton nombril est comme une coupe ╵bien arrondie
où le vin parfumé ╵ne manque pas.
Ton ventre ╵est comme une meule de blé
bordée de lis.
Comme deux faons, ╵jumeaux d’une gazelle[a],
paissant parmi les lis, ╵sont tes deux seins.

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Footnotes

  1. 7.4 Voir 4.5.