O toi que mon cœur aime,
dis-moi où tu fais paître ╵ton troupeau de brebis,
où tu le feras reposer ╵à l’heure de midi,
pour que je ne sois pas ╵comme une femme errante[a],
rôdant près des troupeaux ╵que gardent tes compagnons. »

« Si tu ne le sais pas, ╵ô toi, la plus belle des femmes,
va donc suivre les traces ╵du troupeau de brebis,
fais paître tes chevrettes ╵près des huttes des pâtres. »

Avec les yeux de l’amour

« O mon amie, ╵je te trouve pareille
à une jument d’attelage ╵du pharaon[b].

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Footnotes

  1. 1.7 errante: comme une vagabonde, une coureuse qui cherche l’aventure ; ou : une voilée, c’est-à-dire une prostituée (Gn 38.14-15).
  2. 1.9 Voir 1 R 10.29.