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14 Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher,
Qui te caches dans les parois escarpées,
Fais-moi voir ta figure,
Fais-moi entendre ta voix;
Car ta voix est douce, et ta figure est agréable.
15 Prenez-nous les renards,
Les petits renards qui ravagent les vignes;
Car nos vignes sont en fleur.
16 Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui;
Il fait paître son troupeau parmi les lis.
17 Avant que le jour se rafraîchisse,
Et que les ombres fuient,
Reviens!… sois semblable, mon bien-aimé,
A la gazelle ou au faon des biches,
Sur les montagnes qui nous séparent.

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14 Ma colombe nichée |aux fentes du rocher,
cachée au plus secret |des parois escarpées,
fais-moi voir ton visage
et entendre ta voix,
car ta voix est bien douce |et ton visage est beau.
15 Prenez-nous les renards[a],
oui, les petits renards |qui ravagent nos vignes
quand elles sont en fleur.
16 Mon bien-aimé, il est à moi, |et moi, je suis à lui,
il paît parmi les lis[b].
17 Et quand viendra la brise
à la tombée du jour,
et quand s’estomperont les ombres,
reviens, ô toi mon bien-aimé,
pareil à la gazelle |ou à un jeune faon
sur les monts escarpés[c].

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Footnotes

  1. 2.15 Les renards abondaient en Judée et y causaient beaucoup de dommages dans les vignes et les jardins. Cette parole énigmatique peut être une demande que l’on écarte tout ce qui pourrait endommager les vignes en fleur, l’amour du bien-aimé et de sa bien-aimée. Ce pourrait encore être un prétexte pour repousser l’invitation, ou pour se faire prier, par coquetterie.
  2. 2.16 Voir 6.3 ; 7.11.
  3. 2.17 Autres traductions : sur les monts de Béther, lieu non identifié, ou sur les monts qui nous séparent. Il pourrait encore s’agir d’une image pour les seins de la bien-aimée.