Le jour suivant, de bonne heure, ils trouvèrent encore Dagôn par terre sur sa face devant le coffre de l’Eternel, sa tête et ses deux mains coupées gisaient sur le seuil de la pièce, seul le tronc était resté là. C’est pour cette raison que, jusqu’à ce jour, les prêtres de Dagôn et tous ceux qui entrent dans son temple à Ashdod évitent de poser leur pied sur le seuil.

Puis l’Eternel frappa très sévèrement les Ashdodiens et fit des ravages parmi eux en les frappant de tumeurs ; [des rats apparurent dans le pays, semant la mort et la destruction[a]] dans la ville et les territoires qui en dépendaient.

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Footnotes

  1. 5.6 Les mots entre crochets manquent dans le texte hébreu traditionnel. Ils sont restitués d’après l’ancienne version grecque ; voir 1 S 6.5.