23 Car voici la tradition que j’ai reçue du Seigneur, et que je vous ai transmise : le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré pour être mis à mort, prit du pain[a], 24 et, après avoir prononcé la prière de reconnaissance, il le rompit en disant : « Ceci est mon corps : il est pour vous ; faites ceci en souvenir de moi. » 25 De même, après le repas, il prit la coupe et dit : « Cette coupe est la nouvelle alliance scellée de mon sang ; faites ceci, toutes les fois que vous en boirez, en souvenir de moi. » 26 Donc, chaque fois que vous mangez de ce pain et que vous buvez de cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, et ceci jusqu’à son retour.

27 C’est pourquoi quiconque mangerait le pain ou boirait de la coupe du Seigneur d’une manière indigne se rendrait coupable envers le corps et le sang du Seigneur. 28 Que chacun donc s’examine sérieusement lui-même et qu’alors il mange de ce pain et boive de cette coupe. 29 Car celui qui mange et boit sans discerner ce qu’est le corps[b] se condamne lui-même en mangeant et en buvant ainsi.

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Footnotes

  1. 11.23 Voir Mt 26.26ss ; Mc 14.22-25 ; Lc 22.15-20.
  2. 11.29 Certains manuscrits précisent : le corps du Seigneur.

Quant à nous, nous nous sommes embarqués à Philippes après la fête des Pains sans levain[a] et, après une traversée de cinq jours, nous les avons rejoints à Troas où nous avons passé une semaine.

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Footnotes

  1. 20.6 Voir Ex 12.14-20.