L’Assyrie était comme un cèdre |sur le Liban,
à la belle ramure,
au feuillage touffu |donnant de l’ombre,
à la haute stature ;
sa cime s’élançait |jusque dans les nuages.
Les eaux l’avaient fait croître,
les sources de l’abîme |l’avaient fait s’élever bien haut,
répandant leurs rivières
tout alentour du lieu |où il était planté,
puis dirigeant leur cours
vers tous les arbres des campagnes.
Voilà pourquoi sa taille |était plus élevée que celle
de tous les arbres des campagnes ;
ses rameaux se multipliaient,
ses branches s’allongeaient,
grâce à l’eau abondante |qui l’abreuvait.

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