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Personne n'a porté sur toi un regard de pitié pour te faire une seule de ces choses, par compassion pour toi. Au contraire, tu as été jetée dans les champs, le jour de ta naissance, parce que tu provoquais le dégoût.

»Je suis passé près de toi, et je t’ai aperçue en train de te débattre dans ton sang. Alors je t’ai dit: ‘Vis dans ton sang!’ Je t’ai dit: ‘Vis dans ton sang!’ Je t'ai multipliée à l’infini, comme l’herbe des champs. Tu t’es développée, tu as grandi, et tu es devenue très jolie; tes seins se sont formés et tes cheveux ont poussé, mais tu restais nue, entièrement nue.

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