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Tu rends le peuple nombreux,
Tu lui accordes de grandes joies;
Il se réjouit devant toi, comme on se réjouit à la moisson,
Comme on pousse des cris d’allégresse au partage du butin.
Car le joug qui pesait sur lui,
Le bâton qui frappait son dos,
La verge de celui qui l’opprimait,
Tu les brises, comme à la journée de Madian.
Car toute chaussure qu’on porte dans la mêlée,
Et tout vêtement guerrier roulé dans le sang,
Seront livrés aux flammes,
Pour être dévorés par le feu.

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