O Eternel, |tu fais abonder l’allégresse[a],
tu fais jaillir |une très grande joie
et l’on se réjouit devant toi |tout comme au temps de la moisson,
ou comme on crie de joie |lors du partage d’un butin.
Car le joug qui pesait sur lui,
le bâton qui frappait son dos,
le gourdin de son oppresseur,
toi, tu les as brisés |tout comme au jour |de la défaite de Madian[b].
Toute chaussure de guerrier |qui martèle le sol,
et tout manteau |que l’on a roulé dans le sang
seront livrés aux flammes,
pour être consumés.

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Footnotes

  1. 9.2 Cette traduction suppose une légère modification du texte. Le texte hébreu traditionnel a : tu as fait s’accroître le peuple.
  2. 9.3 Allusion à la victoire de Gédéon sur les Madianites (Jg 7 et 8).