Et pourtant, Eternel, |toi, tu es notre père.
Nous, nous sommes l’argile,
et tu es le potier |qui nous a façonnés :
nous sommes tous l’ouvrage |que tes mains ont formé.
Ne sois pas courroucé |à l’excès, Eternel.
Ne nous tiens pas rigueur |à toujours de nos fautes !
Et daigne porter tes regards |sur nous tous qui sommes ton peuple !
Voici : tes villes saintes |sont dépeuplées.
Sion est un désert,
Jérusalem est désolée,

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