Je m’écriai :

Malheur à moi ! Je suis perdu, car j’ai les lèvres impures et j’habite au milieu d’un peuple aux lèvres impures. Et voici que, de mes yeux, j’ai vu le Roi, le Seigneur des armées célestes.

Alors l’un des êtres à forme de serpent vola vers moi, il tenait à la main une braise qu’il avait prise sur l’autel[a] avec des pincettes. Il m’en toucha la bouche, et me dit :

Maintenant que ceci vient d’être appliqué sur tes lèvres, ta faute est enlevée et ton péché est expié.

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Footnotes

  1. 6.6 L’autel des parfums qui se trouvait dans le lieu saint, ou plutôt l’autel des holocaustes, sur le parvis du Temple.