Pourtant, en vérité, ╵c’est de nos maladies ╵qu’il s’est chargé,
et ce sont nos souffrances ╵qu’il a prises sur lui,
alors que nous pensions ╵que Dieu l’avait puni,
frappé et humilié[a].
Mais c’est pour nos péchés ╵qu’il a été percé,
c’est pour nos fautes ╵qu’il a été brisé.
Le châtiment ╵qui nous donne la paix ╵est retombé sur lui
et c’est par ses blessures ╵que nous sommes guéris[b].
Nous étions tous errants, ╵pareils à des brebis,
chacun de nous allait ╵par son propre chemin :
l’Eternel a fait retomber sur lui ╵les fautes de nous tous.

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Footnotes

  1. 53.4 Cité en Mt 8.17.
  2. 53.5 Les v. 5-6 sont cités en 1 P 2.24-25.