Les routes sont désertes.
Plus personne ne passe |sur les chemins ;
le dévastateur a rompu l’alliance,
il méprise les villes[a],
il n’a de respect pour personne.
Le pays est en deuil, |il dépérit.
Le Liban est confus, |ses arbres sont flétris,
la plaine du Saron |ressemble à un désert.
Le pays du Basan |et le mont du Carmel |ont perdu leur feuillage.

10 Maintenant, je me lève,
dit l’Eternel.
Maintenant, je me dresse,
oui, maintenant, |je montre ma grandeur.

Read full chapter

Footnotes

  1. 33.8 les villes : selon le texte hébreu traditionnel. Le texte hébreu de Qumrân a : les témoins.