Tu as réduit la ville ╵en un monceau de pierres,
la cité fortifiée, ╵n’est plus que ruine
la citadelle des barbares[a], ╵a cessé d’être une cité
et jamais plus personne ╵ne la rebâtira.
Aussi, de puissants peuples ╵t’honoreront
et elle te craindra, ╵la cité des nations ╵qui régnaient en tyrans.
Car tu es un refuge ╵pour celui qui est pauvre
et une forteresse ╵pour l’indigent dans sa détresse.
Tu es un sûr abri ╵contre la pluie d’orage
et tu es notre ombrage ╵au temps de la chaleur.
Car la colère ardente des tyrans
ressemble à une pluie d’orage ╵qui bat une muraille

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Footnotes

  1. 25.2 Les anciennes versions grecque et syriaque ont : des orgueilleux.