Le vin nouveau est triste,
la vigne est languissante
et tous les bons vivants |gémissent maintenant.
On n’entend plus le son |des joyeux tambourins,
le bruit tumultueux |des gens en liesse a disparu
et la musique allègre |de la lyre a cessé.
On ne boit plus de vin |en chantant des chansons,
les boissons enivrantes |sont devenues amères |pour tous ceux qui les boivent.

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