Dans les rues, on revêt |les habits de toile de sac ;
sur les toits en terrasse |et sur les places de la ville,
tout le monde soupire |et se répand en larmes.
A Heshbôn, à Elealé, |les gens poussent des cris,
on les entend jusqu’à Yahats[a].
Aussi les soldats de Moab |se mettent à crier
et ils sont tout tremblants.

J’appelle à l’aide |au sujet de Moab :
ses fugitifs se sauvent |jusqu’à Tsoar,
jusqu’à Eglath-Shelishiya,
et ils gravissent en pleurant |la montée de Louhith.
Sur le chemin d’Horonaïm, |ils poussent des cris déchirants :

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Footnotes

  1. 15.4 Heshbôn et Elealé : villes à la frontière nord du pays (voir Nb 21.26), à une trentaine de kilomètres au nord de la mer Morte. Yahats : à l’est, aux confins du désert.