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Au pays d’Egypte, Joseph eut deux fils d’Asnath, fille de Poti-Phéra, prêtre d’On : Manassé et Ephraïm.
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Jacob adopte les fils de Joseph et les bénit
Peu après cela, on vint prévenir Joseph que son père était malade. Il prit avec lui ses deux fils Manassé et Ephraïm.
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Et maintenant, les deux fils qui te sont nés en Egypte, avant mon arrivée ici, je les adopte comme miens. Ephraïm et Manassé seront mes fils au même titre que Ruben et Siméon.
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Puis il les prit tous les deux, Ephraïm à sa droite – donc à gauche d’Israël – et Manassé à sa gauche – donc à la droite de son père – et les fit approcher de lui.
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Ce jour-là, il les bénit ainsi : Le peuple d’Israël vous nommera dans ses bénédictions en disant : « Que Dieu te rende semblable à Ephraïm et à Manassé ! » Ainsi il plaça Ephraïm avant Manassé.
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pour les fils de Joseph : pour Ephraïm : Elishama, fils d’Ammihoud ; pour Manassé : Gamliel, fils de Pédahtsour ; –
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Joseph eut pour fils Manassé et Ephraïm.
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car les fils de Joseph, Manassé et Ephraïm, formaient deux tribus. C’est pourquoi il n’avait pas attribué de patrimoine aux lévites dans le pays, sinon quelques villes avec leurs terres attenantes pour y habiter, y faire vivre leurs troupeaux et y conserver leurs biens.
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Tel est le patrimoine qui échut aux descendants des fils de Joseph, Manassé et Ephraïm.
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Ensuite, la frontière descendait au torrent de Qana, qu’elle rejoignait sur la rive sud. Les villes de cette région, enclavées parmi celles de Manassé, étaient à Ephraïm. La frontière de Manassé passait au nord du torrent et débouchait sur la mer.
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Les gens d’Ephraïm ne dépossédèrent pas les Cananéens établis à Guézer, et ceux-ci continuèrent à y vivre au milieu des Ephraïmites.
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Conflit avec Ephraïm
Les hommes de la tribu d’Ephraïm se rassemblèrent, ils se rendirent à Tsaphôn, et ils dirent à Jephté : Pourquoi es-tu allé combattre les Ammonites sans nous avoir appelés pour aller au combat avec toi ? Nous allons brûler ta maison sur toi.
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et leur coupèrent la retraite en occupant les gués du Jourdain menant à Ephraïm. Quand l’un des fuyards d’Ephraïm voulait traverser la rivière, les hommes de Galaad lui demandaient s’il venait d’Ephraïm. S’il répondait : « Non »,
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La fin de l’époque des chefs
Anne et Peninna
Un homme nommé Elqana vivait à Ramataïm-Tsophim, dans la région montagneuse d’Ephraïm ; il était fils de Yeroham et petit-fils d’Elihou, de la famille de Tohou, descendant de Tsouph, un Ephraïmite.
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et l’avait fait proclamer roi sur Galaad, sur les Ashourites, sur Jizréel, sur Ephraïm, sur Benjamin et sur tout Israël.
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Ephraïm, leur père, porta longtemps leur deuil. Les gens de sa parenté vinrent le consoler.
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Plus tard, Ephraïm s’unit à sa femme, elle devint enceinte et lui donna un fils qu’il appela Beria (Dans le malheur) car sa famille avait été dans le malheur.
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Ephraïm eut aussi une fille, Shééra, qui fortifia Beth-Horôn-la-Basse, Beth-Horôn-la-Haute, et Ouzzèn-Shééra.
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Le onzième, pour le onzième mois : Benaya, de Piratôn, des Ephraïmites. Sa division comptait 24 000 hommes.
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Un homme de Dieu vint lui dire : O roi, qu’une armée d’Israël n’aille pas combattre avec toi, car l’Eternel n’est pas avec le royaume du Nord, avec tous ces Ephraïmites.
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Les préparatifs de la Pâque
Ezéchias envoya des messagers dans tout Israël et Juda, et écrivit même des lettres à Ephraïm et Manassé, pour les inviter à venir au temple de l’Eternel à Jérusalem afin de célébrer la Pâque en l’honneur de l’Eternel, le Dieu d’Israël.
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A moi Galaad ! ╵A moi Manassé ! Ephraïm ╵est un casque pour ma tête. Mon sceptre royal, ╵c’est Juda,
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A moi Galaad ! ╵A moi Manassé ! Ephraïm ╵est un casque pour ma tête. Mon sceptre royal, ╵c’est Juda,
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Quand on apprit, à la cour du royaume de David, que les Syriens avaient pris position en territoire éphraïmite, le roi et tous ses sujets en furent secoués comme le feuillage des arbres de la forêt quand ils sont agités par le vent.
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La Syrie, il est vrai, projette un malheur contre toi de concert avec Ephraïm et le fils de Remalia, et ils ont dit :