Si un homme a vendu sa fille comme servante, elle ne sera pas libérée dans les mêmes conditions que les esclaves. Si elle déplaît à son maître qui se la réservait[a], il la fera racheter, mais il ne pourra pas la vendre à des étrangers. Ce serait la trahir. S’il l’a destinée à son fils, il la traitera selon le droit qui s’applique à des filles. 10 Si, après l’avoir épousée, il prend une autre femme, il ne retranchera rien à la nourriture et à l’habillement de la première, ni à son devoir conjugal envers elle.

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Footnotes

  1. 21.8 Selon la leçon indiquée en marge par les copistes, le texte porte : et que celui-ci ne se l’attribue pas.