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Car il faut que l'évêque soit irréprochable, comme économe de Dieu; qu'il ne soit ni arrogant, ni colère, ni adonné au vin, ni violent, ni porté à un gain déshonnête;

mais qu'il soit hospitalier, ami des gens de bien, modéré, juste, saint, tempérant,

attaché à la vraie parole telle qu'elle a été enseignée, afin d'être capable d'exhorter selon la saine doctrine et de réfuter les contradicteurs.

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En effet, il est nécessaire qu’un dirigeant d’Eglise soit irréprochable, puisqu’il a la responsabilité de la famille de Dieu. C’est pourquoi il ne doit être ni imbu de lui-même ni coléreux, ni buveur, ni querelleur, ni attiré par des gains malhonnêtes.

Qu’il soit, au contraire, hospitalier, ami du bien, réfléchi, juste, saint et maître de lui-même ; qu’il soit fidèlement attaché à la parole certaine, qui est conforme à ce qui lui a été enseigné. Ainsi il sera en mesure d’encourager les autres selon l’enseignement sain et de réfuter les contradicteurs.

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Car il faut que l’évêque soit irréprochable, comme économe de Dieu; qu’il ne soit ni arrogant, ni colérique, ni adonné au vin, ni violent, ni porté à un gain honteux; mais qu’il soit hospitalier, ami des gens de bien, modéré, juste, saint, tempérant, attaché à la vraie parole telle qu’elle a été enseignée, afin d’être capable d’exhorter selon la saine doctrine et de réfuter les contradicteurs.

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