Si jamais je t’oublie, |Jérusalem,
que ma main droite |perde sa force !
Et que ma langue |se colle à mon palais
si je ne pense plus |à toi, Jérusalem,
si je ne te mets plus
avant toute autre joie.

Souviens-toi, Eternel, |des Edomites[a]
qui en ce jour |du malheur de Jérusalem,
criaient bien fort : |« Rasez-la donc,
rasez jusqu’à ses fondations ! »

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Footnotes

  1. 137.7 Lors de la destruction de Jérusalem par Nabuchodonosor, les Edomites avaient manifesté de manière indécente leur joie de voir tomber leur rivale (Ez 35.12-14). Cette attitude était d’autant plus odieuse qu’ils étaient de proches parents des Israélites (descendants d’Esaü, frère de Jacob).