Add parallel Print Page Options

11 Comme une perdrix qui couve des oeufs qu'elle n'a point pondus, Tel est celui qui acquiert des richesses injustement; Au milieu de ses jours il doit les quitter, Et à la fin il n'est qu'un insensé.

12 Il est un trône de gloire, élevé dès le commencement, C'est le lieu de notre sanctuaire.

13 Toi qui es l'espérance d'Israël, ô Éternel! Tous ceux qui t'abandonnent seront confondus. -Ceux qui se détournent de moi seront inscrits sur la terre, Car ils abandonnent la source d'eau vive, l'Éternel.

14 Guéris-moi, Éternel, et je serai guéri; Sauve-moi, et je serai sauvé; Car tu es ma gloire.

15 Voici, ils me disent: Où est la parole de l'Éternel? Qu'elle s'accomplisse donc!

16 Et moi, pour t'obéir, je n'ai pas refusé d'être pasteur; Je n'ai pas non plus désiré le jour du malheur, tu le sais; Ce qui est sorti de mes lèvres a été découvert devant toi.

Read full chapter

11 Semblable à la perdrix |qui a couvé des œufs |qu’elle n’a pas pondus
est l’homme qui amasse |des richesses acquises |injustement.
Au milieu de sa vie, |sa fortune le quitte
et il montre finalement |qu’il est un insensé.

Prière

12 Il est un trône glorieux, |élevé dès les origines,
c’est là qu’est notre sanctuaire.
13 O Eternel, |toi l’espoir d’Israël,
tous ceux qui t’abandonnent |seront couverts de honte.
Oui, ceux qui se détournent |de moi vont à leur perte,
parce qu’ils ont abandonné |la source des eaux vives[a] |qu’est l’Eternel.

14 Guéris-moi, Eternel, |et je serai guéri !
Oui, sauve-moi |et je serai sauvé !
Car c’est toi que je loue !
15 Les voilà qui me disent :
« Où sont donc les menaces |que l’Eternel a proférées ?
Qu’elles se réalisent ! »
16 Pourtant, je n’ai pas refusé
de marcher à ta suite |en étant un berger[b].
Je n’ai pas souhaité |que vienne le jour des douleurs.
Toi, tu es au courant |de ce qu’a dit ma bouche,
c’est devant toi que j’ai parlé.

Read full chapter

Footnotes

  1. 17.13 Voir 2.13.
  2. 17.16 Pourtant, je n’ai pas refusé … un berger : selon le texte hébreu traditionnel. D’après deux manuscrits grecs : je ne t’ai pas pressé d’envoyer le malheur.